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    • Supprimer les dépassements d’honoraires et le secteur II
    • Abroger les dépassements d’honoraires
    • Supprimer le paiement à l’acte au profit d’un paiement à la fonction
    • Instaurer un système de tiers payant intégral
    • Renégocier la convention médicale en remettant en cause les dépassements d’honoraires
    • Soutenir financièrement la création de centres de santé publics (et non pas de maisons de santé)
    • Revaloriser la médecine générale dans sa formation, sa rémunération et sa reconnaissance universitaire
    • Développer de nouvelles formes de rémunération intégrant l’élaboration des dossiers, la prévention et l’éducation à la santé
    • Encadrer les dépassements d’honoraires en ville en demandant aux médecins de secteur II d’avoir 30 % de leur clientèle en secteur 1 ou en imposant sur chaque acte un plafond à 2,5 fois le tarif opposable
    • Encadrer strictement les dépassements d’honoraires, spécialité par spécialité, région par région, à l’issue d’une négociation de quelques mois
    • Compléter le paiement à l’acte par une part forfaitaire accrue (tenant compte du lieu d’exercice)
    • Limiter les conventionnements de secteur II dans les zones surdotées
    • Engager la généralisation du tiers payant en médecine de ville en secteur I
    • Préserver toutes les formes d’exercice mais privilégier les regroupements
    • Revaloriser la filière de médecine générale, multiplier les stages
    • Améliorer la protection sociale des femmes médecins
    • Établir un bilan de la convention sur le prix de la consultation médicale
    • Conforter les deux piliers de rémunération : paiement à l’acte et sur objectifs de santé publique
    • Mettre en place une concertation sur les dépassements d’honoraires
    • Intéresser financièrement les médecins qui « dénichent des économies » dans le système
    • Revaloriser la filière de médecine générale au cours des études instaurer des stages plus précoces
    • Alléger les contraintes administratives
    • Mettre le dossier médical sur clé USB
    • Maintenir le paiement à l’acte et développer les forfaits
    • Mieux rémunérer le médecin qui s’installe dans un désert médical
    • Affermir le pacte conventionnel
    • Mettre en place le secteur optionnel
    • Revaloriser les honoraires des médecins de ville pour endiguer la fuite vers le secteur 2
    • Encadrer les dépassements d’honoraires
    • Plafonner les dépassements d’honoraires en secteur 2 après concertation avec les syndicats médicaux
    • Revaloriser la totalité des actes médicaux à leur juste valeur
    • Définir des priorités géographiques afin de mieux répartir les médecins sur le territoire
    • Intensifier les aides à l’installation pour les jeunes médecins
    • Supprimer le numerus clausus
    • Former plus de médecins et d’infirmières
    • Instaurer des centres de santé pluridisciplinaires gratuits
    • Supprimer le numerus clausus
    • Instaurer un nouveau statut du médecin en formation (à 1600 euros) avec en contrepartie l’engagement à exercer dans une zone sous dense
    • Créer de vraies incitations à l’installation (financières, techniques, équipement, etc.)
    • N’allouer les avantages sociaux qu’aux professionnels de santé qui s’installent dans des zones sous denses ou qui s’engagent à réaliser une médecine mobile dans des territoires fragiles
    • Prévoir des bourses d’études assorties de l’engagement à exercer quelques années dans les zones déficitaires
    • Offrir à tous un accès aux soins à tarifs opposables, y compris la nuit et le week-end
    • Etablir des délais d’attente opposables en secteur 1
    • Augmenter le nombre d’étudiants à l’entrée des études dans la perspective de la suppression du numerus clausus
    • Créer des « maisons de la santé et de l’autonomie » pluridisciplinaires incluant un service d’éducation pour la santé et la santé environnementale
    • Privilégier si besoin l’incitation fiscale à l’installation de médecins et autres professionnels de santé
    • Rendre obligatoire les stages en médecine dans les cabinets libéraux placés en zone sous-dotée
    • Augmenter le numerus clausus
    • « plan d’urgence pour l’installation » des jeunes médecins (construction de projets médicaux, démarches administratives avec guichet unique)
    • Création dans chaque territoire de santé d’un « pôle de soins et de santé » de proximité (soit maison de santé, centre de santé ou hôpital local) avec obligation de résultat
    • Pas de contraintes à l’installation
    • Relèvement du numerus clausus
    • Fixer un délai maximum d’une demi-heure pour accéder aux soins d’urgence
    • Développement de la télémédecine
    • Préserver le droit « inaliénable » de la liberté d’installation
    • Instaurer des services médicaux de proximité en amont des plateaux techniques des hôpitaux, pour lutter contre les déserts médicaux
    • Création systématique d’un « sas » libéral en amont des urgences hospitalières
    • Ouvrir des places supplémentaires pour ceux qui échouent de peu au concours de fin de 1e année, assorties d’un engagement de service dans une région déficitaire
    • Créer 750 maisons de santé pluridisciplinaires supplémentaires pour lutter contre les déserts médicaux
    • Préserver la liberté d’installation, poursuivre la politique d’incitations pour faciliter les installations en zones sous denses
    • Soulager les urgences en créant des maisons médicales de garde aux portes des hôpitaux
    • Développer le tutorat association pour les internes dans les zones sous médicalisées
    • Relever le numerus clausus
    • Développer des passerelles entre les professions de santé
    • Augmentation du numerus clausus
    • Obligation pour chaque jeune médecin à la fin de ses études d’exercer deux ans dans une zone rurale désertifiée, avec bonus financier et système d’incitation
    • Blocage des installations en zones surdenses (en instaurant des licences pour les spécialités mal réparties sur le territoire, sur l’exemple des pharmacies)
    • Supprimer le numerus clausus pendant au moins 7 ans pour revenir à l’équilibre démographique tout en donnant priorité d’accès aux Français
    • « Ni contrainte ni incitation » à s’installer dans les déserts mais réindustrialisation des campagnes et des périphéries des villes
    • Stage précoce obligatoire de terrain dans la formation des médecins
    • Cesser la fermeture des services et des lits hospitaliers
    • Augmenter les crédits et les subventions des établissements publics
    • Mettre en place l’expropriation des cliniques privées et des trusts pharmaceutiques.
    • Abroger la dette des hôpitaux
    • Expropriation des cliniques privées qui seront intégrées à l’hôpital public
    • Abrogation du volet hospitalier de la loi HPST
    • Supprimer la logique actuelle de financement qui « privilégie les actes les plus rentables »
    • Supprimer les ARS responsables de « la casse de l’hôpital » et les remplacer par des instances regroupant les personnels, les professionnels, les élus et les citoyens
    • Mettre fin aux fermetures et démantèlements d’hôpitaux, de maternités et de centres de soins
    • Abroger la loi HPST et la tarification à l’activité
    • Rompre avec la RGPP (révision générale des politiques publiques)
    • Instaurer un moratoire sur la tarification à l’activité
    • En finir avec la convergence tarifaire public-privé à l’hôpital
    • Interdire le secteur privé à l’hôpital public
    • Réformer en profondeur la T2A, mode de tarification « inflationniste et inadapté à nombre de pathologies »
    • Diversifier le mode de financement de l’hôpital (avec d’autres critères que l’activité)
    • Mettre un terme à la convergence tarifaire public privé
    • En finir avec la logique de l’hôpital « entreprise »
    • Pas de remise en cause des ARS (mais faire davantage tomber les barrières entre la ville et l’hôpital)
    • Implantation de nouveaux SMUR
    • Développer la politique d’hospitalisation à domicile (et de maintien à domicile)
    • Modifier la loi HPST pour passer d’une logique gestionnaire et administrative à une construction en réseau sur le territoire
    • Poursuite des gains de productivité dans les établissements
    • Développer la chirurgie ambulatoire et réduire le nombre de lits
    • Maintien de la tarification à l’activité avec aménagements (modulation des tarifs selon la pertinence des séjours), poursuite de la convergence tarifaire public privé
    • Développer l’intéressement des équipes
    • Publication d’indicateurs de résultats pour les hôpitaux et les cliniques
    • Amélioration de la reconnaissance financière des managers hospitaliers
    • Arrêt de l’« asphyxie » de l’hôpital (par ajustement de la T2A et prise en compte des situations des publics visés)
    • Meilleure cogestion entre soignants et directeurs d’hôpital
    • Installation des maisons de santé en amont des urgences et d’une maison médicale par canton pour désengorger les urgences
    • Renforcer la tutelle du ministère de la santé sur les Agences régionales de santé
    • Fermeture des petites structures dont la taille est insuffisante pour assurer la qualité des soins
    • Fermeture progressive de la quasi-totalité de la filière des médecins à diplôme étranger
    • Obligation pour les médecins à diplôme étranger en attente d’autorisation de réussir avant la fin 2012 une équivalence de haut niveau pour continuer d’exercer en France
    • Révision de la loi Bachelot
    • Supprimer le forfait hospitalier et les franchises médicales
    • Prendre en charge à 100 % les médicaments et les frais d’hospitalisation (en prenant sur les profits du secteur privé)
    • Faire correspondre le montant des indemnités journalières maladie au salaire
    • Supprimer les exonérations partielles ou totales de cotisations sociales pour les entreprises
    • Combler les déficits des centres de santé
    • Placer sous le contrôle des travailleurs et des usagers tous les secteurs stratégiques de la santé
    • Mettre fin aux franchises médicales
    • Augmenter la part patronale des cotisations sociales
    • Supprimer les 31 milliards d’euros d’exonérations de cotisations sociales des entreprises
    • Intensifier la lutte contre la fraude sociale des entreprises
    • Autogestion de la Sécurité sociale qui doit être une institution indépendante de l’État et du patronat
    • Rembourser à 100 % les médicaments efficaces. Dans le cas contraire, ne pas les mettre sur le marché
    • Garantir une protection sociale à tous, avec remboursement des frais de santé à 100 % par l’assurance-maladie incluant les lunettes et les soins dentaires
    • Orienter les mutuelles sur la prévention
    • Supprimer l’exonération de cotisations sociales au titre des heures supplémentaires
    • Faire cotiser les revenus financiers des entreprises et des établissements financiers au même taux de cotisation patronale
    • Abolir les franchises médicales, les restes à charge et le forfait de 30 euros imposé aux étrangers
    • Relever l’ONDAM au-delà de son niveau actuel en fonction de l’inflation
    • Supprimer les franchises médicales
    • Rendre l’accès aux soins universel et gratuit
    • Ouvrir un débat national sur le prix du médicament
    • Rétablir les comptes de l’assurance-maladie
    • Réduction des niches sociales, abrogation de la TVA sociale et réforme fiscale
    • Lancer un débat sur la place et le rôle des complémentaires
    • Engager une réforme de la dépendance
    • Inscrire la règle d’or (qui interdit de voter un budget en déséquilibre) dans la constitution (les lois Sécu seraient concernées)
    • Mettre en place des objectifs régionaux de dépenses d’assurance-maladie (ORDAM)
    • S’inspirer du régime d’assurance-maladie d’Alsace-Moselle
    • Coup de rabot sur les niches sociales
    • ONDAM maintenu à 2,5%
    • Maintien du remboursement à 100 % pour les ALD, ajustement de la liste des pathologies chroniques par la HAS
    • Réforme de la dépendance en 2013, lorsque la France sera revenue à 3 % de déficit public (baisse du reste à charge pour les familles)
    • Création de la TVA sociale
    • Intensifier la lutte contre les abus et fraudes
    • Instaurer la carte vitale biométrique pour sécuriser l’accès aux prestations
    • Suppression du tiers payant pour les patients qui refusent un générique disponible
    • Taxation des importations dans le cadre du « protectionnisme intelligent » pour dégager 10 milliards d’euros destinés à refinancer l’assurance-maladie
    • Plafonnement de l’aide médicale d’état à 300 millions d’euros en instaurant un contrôle dans les dispensaires
    • Pas d’augmentation nouvelle du forfait hospitalier
    • Renforcement de la lutte contre la fraude (secrétariat d’état dédié, carte vitale biométrique, croisement systématique des fichiers sociaux et fiscaux)
    • Lutte contre les arrêts maladie abusifs
    • Meilleure gestion de la Sécurité sociale (et récupération des créances auprès des pays étrangers)
    • Suppression des niches sociales injustes et des régimes particuliers « dispendieux »
    • Suppression de l’AME et priorité aux Français en matière de protection sociale
    • Création d’une 5e branche du régime général de la Sécurité sociale pour la dépendance (et conférence du financement de la dépendance)
    • Interdire les liens entre experts sanitaires et laboratoires
    • Autoriser le personnel des entreprises de l’industrie pharmaceutique à dénoncer les malversations
    • Financer la dépendance par l’État et par une hausse des cotisations patronales
    • Débloquer le budget nécessaire à l’application de la loi handicap
    • Augmenter le montant de l’allocation adulte handicapé (AAH) à un SMIC brut
    • Mettre en place un droit à la santé en agissant en amont (prévention et dépistage, nutrition, conditions de vie et de travail)
    • Confier la prévention aux centres de santé
    • Nationaliser la recherche
    • Créer un pôle public du médicament avec au moins une entreprise publique qui interviendra sur la recherche, la production et la distribution des médicaments
    • Garantir l’accès effectif et gratuit à la contraception et à l’IVG
    • Réformer la psychiatrie respectant les libertés individuelles
    • Déclarer le sport comme relevant d’une mission de service public
    • Consacrer 1 % du budget santé à la politique de prévention
    • Établir la gratuité à l’ensemble des contraceptifs
    • Prendre un engagement national pour la transparence et l’indépendance du système de santé
    • Mettre en place un plan majeur contre les « maladies du mode de vie » et les épidémies chroniques
    • Créer un institut national de recherche en santé environnementale
    • Mettre en place des plans d’actions locaux pour lutter contre la pollution de l’air
    • Psychiatrie et santé mentale : abroger la loi du 5 juillet 2011 qui instaure des soins sans consentement à domicile
    • Investir 4,1 milliards d’euros supplémentaires dans la santé et la prévention
    • Réduire le seuil légal d’exposition aux pollutions électromagnétique
    • Légaliser le cannabis
    • Donner la priorité à la santé des jeunes
    • Plan national de santé publique pour l’enfant et l’adolescent (prévention de l’obésité infantile, dépistage et prise en charge des troubles sensoriels et des handicaps)
    • Réorienter la santé publique sur la prévention (réserver une part des postes créés dans l’Éducation aux services de médecine préventive) et renforcer l’éducation à la santé
    • Reconduire le plan Cancer et le plan Alzheimer
    • Lutter contre la surconsommation de médicaments et les interactions médicamenteuses
    • Créer une Autorité indépendante chargée de l’alerte, notamment en matière de santé et de sécurité sanitaire
    • Initier un plan santé pour prévenir les conduites addictives des jeunes
    • Lancement de six nouveaux plans (santé environnementale, santé mentale, maladies infectieuses, vaccination, prévention des troubles du comportement alimentaire et les toxicomanies)
    • Développer une offre intermédiaire entre le tout domicile et le tout établissement pour la prise en charge du handicap
    • Ne pas légaliser l’euthanasie
    • Plans cancer, Alzheimer, dépendance et maladies dégénératives en augmentant leurs crédits de 5 %
    • Interdiction des publicités alimentaires aux heures d’écoute des enfants
    • Renforcement de la prévention, notamment en matière de tabac
    • Développement de l’idée du pass contraception pour réduire les IVG des mineures
    • Déremboursement de l’IVG en cas de choix financier à faire (préférence au remboursement de médicaments utiles)
    • Refus de la contraception anonyme et gratuite pour les mineures
    • Nouveau plan Alzheimer avec intensification de la recherche
Le Quotidien du médecin - 2012