Publi-rédactionnel réalisé par Le Quotidien du Médecin Agence pour le laboratoire Arrow

Lutter contre l'ostéoporose :
Maintenir le capital osseux avec Orocal®

L’âge, les modifications hormonales dues au vieillissement, l'insuffisance des apports alimentaires, l'insuffisance de l'exposition au soleil et une corticothérapie au long cours sont les principaux facteurs de la diminution de la densité minérale osseuse à l'origine de l'ostéoporose et de ses complications (fractures) (1). Une supplémentation en calcium et vitamine D s'avère souvent très utile, voire indispensable. La gamme Orocal® permet de l'adapter en fonction de chaque cas.

L'ostéoporose, un développement insidieux et un retentissement très grave

L'ostéoporose est une maladie diffuse du squelette associant une diminution de la densité osseuse et des altérations de la microarchitecture des os. En fragilisant les os, elle augmente le risque de fractures (principalement col du fémur, poignet, vertèbres) (1). Elles s'accompagnent d'une dégradation de la qualité de vie et d'une augmentation de la mortalité, quel que soit l'âge du patient (2).

Elle est deux à trois fois plus fréquente chez les femmes que chez les hommes, en raison des modifications hormonales de la ménopause, pouvant conduire à une accélération de la résorption osseuse non compensée par une augmentation de la formation osseuse.

On estime qu'en France, entre 2,5 et 3,5 millions de femmes souffrent d'une ostéoporose post-ménopausique. Cependant, un quart des fractures ostéoporotiques surviennent chez les hommes (1).
La qualité de l'os est essentiellement liée à la quantité de calcium qu'il a fixé, ou densité minérale osseuse (DMO). Celle-ci est fonction du stock constitué autour de l'âge de 20 ans et de son renouvellement, qui dépend des apports en calcium et en vitamine D. Ce stock est moins important chez les femmes et diminue à partir de la cinquantaine, de manière plus prononcée chez elles (figure 1) (3).

L'ostéoporose est donc une maladie fréquente, à l’évolution silencieuse et aux conséquences graves (2).

Figure 1 : Evolution de la masse osseuse selon l'âge (d'aporès réf 3).

La supplémentation vitamino-calcique, de la prévention au traitement

Dans la grande majorité des études évaluant l'efficacité des médicaments anti-ostéoporotiques, les patients recevaient un traitement de supplémentation en calcium et en vitamine D. C'est pourquoi, en l’absence d’études de non-infériorité des bisphosphonates sans supplémentation vitamino-calcique, la Commission de la Transparence (HAS) la recommande dans le traitement de l'ostéoporose (4). De plus, pour la HAS, « avant tout traitement spécifique, on procédera à la correction d'une éventuelle carence en vitamine D et/ou d'une carence calcique, par ajustement des apports alimentaires et/ou supplémentation médicamenteuse » (4).

L’ostéoporose est souvent diagnostiquée tardivement à la suite d’une fracture. Il est donc primordial de l’anticiper et de maintenir un apport vitamino-calcique suffisant chez les sujets à risque. La supplémentation est un composant essentiel de la stratégie de prévention de l’ostéoporose (5). Celle-ci vise à diminuer la perte de DMO par l'apport de calcium (1 200 mg/j, soit 3 à 4 portions de produits laitiers) et de vitamine D (entre 800 et 1 200 UI/j) (4). En France, 68 % des hommes et 88 % des femmes âgés de 55 à 74 ans ont des apports alimentaires insuffisants en calcium, notamment chez les plus âgés (6).

L'insuffisance vitaminique D est très fréquente dans toutes les tranches de la population, en particulier chez les personnes de

plus de 65 ans, principalement en raison d'une exposition insuffisante au soleil (7) et d’une diminution avec l’âge de la capacité à synthétiser la vitamine D active par la peau et le rein (8). L’alimentation, même enrichie, apporte très peu de vitamine D (7).

Orocal®, une gamme complète pour prévenir et traiter efficacement les carences

Il est souvent nécessaire d'améliorer les apports en calcium et vitamine D. La décision médicale d'une supplémentation sera prise après l'évaluation des apports alimentaires (4), facilitée par l'outil internet mis à disposition par le site du GRIO (9), en se gardant de le faire par excès (risque d'hypercalcémie). Dans tous les cas de carence manifeste ou de haut risque de carence en calcium et vitamine D (par exemple, les sujets très âgés institutionnalisés), le rapport efficacité/effets indésirables est important (4).

La gamme Orocal® de médicaments vitamino-calciques a démontré son efficacité pour augmenter la DMO et réduire l’incidence des fractures ostéoporotiques chez les sujets âgés institutionnalisés (10,11). Sa galénique et ses arômes sont bien acceptés par les patients, ce qui favorise l’observance à long terme (12,13). L’observance a été démontrée dans une étude sur 1 566 patients où elle demeure à 78 % en moyenne après 3 ans de traitement (14). La gamme Orocal® comprend plusieurs dosages adaptés aux différents profils de patients :

Orocal® 500mg de calcium / 400 UI de vitamine D3 : correction des carences vitamino-calciques chez les sujets âgés • apport vitamino-calcique associé aux traitements de l’ostéoporose, chez les patients carencés ou à haut risque de carence vitamino D-calcique.

Orocal® 500mg de calcium / 200 UI de vitamine D3 : prévention et traitement des carences vitamino D-calciques • apport vitamino-calcique associé au traitement spécifique de l’ostéoporose, chez les patients à risque de carence en vitamine D et en calcium. C’est un dosage unique sur le marché, le seul indiqué en prévention des carences (15). Il peut être utilisé pour le traitement de carence vitamino-calcique chez la femme enceinte (16) et où il permet d’atteindre les apports journaliers recommandés chez ce profil de patiente (1000 mg de calcium et 400 UI de vitamine D)

Orocal® 500mg de calcium : Carences calciques en période de croissance, de grossesse, d’allaitement. Traitement d’appoint des ostéoporoses (séniles, post-ménopausiques, sous corticothérapie,d’immobilisation lors de la reprise de la mobilité).

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Il faut noter que cette gamme, développée en Europe dans un centre d’excellence dédié à la production de thérapies vitamino-calcique, bénéficie d'une nouvelle formule, améliorée, avec un comprimé 23% plus petit et sans aspartam ni sorbitol (17, 18).

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